jeudi 30 avril 2009

1° mai 2009


"Aujourd'hui, le problème n'est pas le bruit des bottes, mais le silence des pantoufles !"
Ne vous laissez pas manoeuvrer par cette soudaine pandémie si proche du 1° mai.
Venez nombreux.
Le vrai danger vient du virus sarkozien de souche UMP

Allez manifester le 1° mai !

mardi 28 avril 2009

Organisme de sondage à la botte de la droite ! Sondage publié par Orange

Jérome de Sainte Marie parle de "bienveillance" dans son article !
Bienveillance pour qui ?
Pour la doite, le modem et les socialistes.
Pour le NPA et LO...
Et pour tous ceux de la jet-set politique, ceux de droite comme de gauche (ou pseudo-gauche.)
Quand au Parti Communiste Français, pas un mot.
- 1° sommes-nous donc le seul vrai parti de gauche ?
- 2° les seuls qui inquiètent Sarkosy, l'UMP et ses amis socialistes ?
- 3° quelles ont été (et qui les a données) les consignes de sondage dans l'objectif de masquer le 3° parti démocratique de France ?

Compliments, la machine anti-démocratique est en marche, soutenue par ce monsieur et ses sondages !

L'analyse (?) de Jérome Sainte Marie:
Légère amélioration pour Nicolas Sarkozy. Au huitième mois de turbulence financière et sociale, Nicolas Sarkozy réussit à disposer d'un soutien substantiel, bien que minoritaire, dans l'opinion. En avril, 43% des Français en ont une bonne opinion comme Président de la République (+1 point par rapport à mars), contre 49% (- 4 points). Dans un contexte de crise, où la communication gouvernementale est rythmée par l'annonce mensuelle de mauvais chiffres sur l'emploi, il s'agit d'un résultat appréciable. La cote présidentielle progresse sensiblement à gauche (22%, + 5 points) parmi les membres de CSP+ (43%, + 7 points) et les personnes ayant un diplôme au moins équivalent au bac (45%, + 6 points) tout en restant stable parmi les ouvriers et employés (39%). Ces données confirment que la récente polémique sur les propos du Président de la République est sans échos dans l'opinion, qui demeure partagée entre son appréciation favorable sur l'implication de Nicolas Sarkozy face à la crise, et le constat d'une constante aggravation de celle-ci. Par ailleurs, son retour sur le thème de la lutte contre l'insécurité, par nature interclassiste, lui bénéficie. François Fillon de nouveau populaire.La tendance baissière qui affectait depuis quatre mois la cote du Premier ministre est aujourd'hui stoppée, et même inversée de manière spectaculaire. 51% des Français en ont une bonne opinion (+ 6 points) contre seulement 38% (- 9 points). La progression est très forte à gauche (33%, + 10 points), et concerne l'ensemble des catégories socio-professionnelles, à la notable exception des cadres supérieurs et membres de professions libérales.L'éloignement de la journée d'action du 19 mars constitue un premier élément d'explication presque mécanique. Dans la mesure où le spectre d'une paralysie du pays s'est éloigné, sans préjuger de la mobilisation du 1er mai et de ses suites, le chef du gouvernement voit sa position raffermie. Par ailleurs, une mesure comme l'allègement fiscal pour les nombreux ménages compris dans la première tranche d'imposition, donc en faveur de la partie la plus modeste des fameuses " classes moyennes ", est à la fois appréciée pour elle-même, et pour le message de préoccupation sociale qu'elle exprime. Elle n'est pas la seule, et le faisceau de ces décisions (prime forfaitaire pour les salariés précaires, prime de solidarité active, etc.) constitue un puissant adjuvant à la popularité de François Fillon. Dominique Strauss-Kahn en tête des personnalités politiques.Dominique Strauss-Kahn est désormais, avec Rama Yade, la personnalité dont on souhaite le plus qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française (49%). Il doit cette première place à sa capacité à obtenir un score équivalent à gauche (52%) et à droite (54%). Il réalise un résultat de vingt points supérieur au sein des sympathisants de l'UMP (59%) par rapport à celui obtenu chez les sympathisants du NPA et de LO (39%).Nouvellement présents dans le baromètre, Alain Juppé (36%) et Dominique de Villepin (35%) bénéficient d'une cote d'influence non négligeable. Leur équivalence globale dissimule cependant une nette différence des soutiens entre les deux anciens premiers ministres. Alain Juppé obtient un score élevé parmi les sympathisants de l'UMP (58%), ce qui est moins le cas de Dominique de Villepin (43%).A l'exception de Bertrand Delanoë (47%, + 1 point) et de Jean-François Copé (34%, + 2 points), toutes les personnalités testées le mois précédent régressent ou demeurent stables. L'affaiblissement de Jean-Louis Borloo est particulièrement net (40%, - 7 points), mais aussi celui de François Bayrou (- 5 points) et de Daniel Cohn-Bendit (-5 points). Pour ces deux dernières personnalités le mouvement trouve son origine dans le rapprochement des élections européennes, qui les marque politiquement. Cet effet d'agenda rend également compte de la baisse spectaculaire affectant Olivier Besancenot parmi les sympathisants de gauche (51%, - 10 points). Par rapport au porte-parole du NPA, la montée de la violence, réelle ou symbolique, dans les mobilisations sociales explique en partie l'éloignement de certains, notamment parmi les sympathisants socialistes (- 12 points).La bienveillance maintenue à l'égard des mouvements sociaux.Dans leur diversité, les mouvements sociaux bénéficient d'une disposition favorable de l'opinion. L'appel syndical unitaire pour le 1er mai est ainsi jugé justifié par 71% des Français (contre 26%). Ils étaient plus nombreux à exprimer cette opinion concernant la journée du 19 mars (78%), mais un peu moins avant celle du 29 janvier (69%). Il n'y a pas lieu de parler d'essoufflement dans l'opinion dans la mesure où la part de ceux qui considère cet appel " tout à fait " justifié est de 31%, soit pratiquement autant qu'avant le 19 mars (32%).A un autre niveau, cette bienveillance apparaît dans l'interprétation des violences commises par des salariés dans certaines entreprises. 77% des Français pensent qu'elles correspondent avant tout à un mouvement de colère spontané, contre seulement 18% qui y voient la main de groupes minoritaires. Cette perception est massivement majoritaire à droite comme à gauche, parmi les CSP+ comme parmi les ouvriers et employés. Ces données ne signifient pas que des actes comme les séquestrations soient soutenus dans les mêmes proportions, ni même majoritairement. Elles indiquent néanmoins que la propagation rapide de la crise économique a développé parmi les Français une réceptivité nouvelle à l'égard de la contestation sociale.
Jérôme Sainte Marie - Directeur associé de l'Institut ISAMA

mercredi 15 avril 2009

Alexandre Alexandrovitch Blok, poète russe révolutionnaire

Aleksander Alexandrovitch Blok. 1880-1921.
(Александр Александрович Блок )
Extraits tirés du poème "Les Douze" rédigé entre le 8 et le 29 janvier 1918. Poème qui fit de lui un révolutionnaire:
"Révolutionnaires marchez au pas !
L'ennemi du peuple ne dort pas !"
.... (sic)
"En avant, en avant, sans peur,
peuple des travailleurs !"
... (sic)

Ce poème s’attache à l’âme de la Révolution plus qu’à la révolution politique elle-même.
C’est une œuvre inaugurale au sens où elle invente le langage nouveau de la modernité poétique en Russie.
A la veille de la révolution Blok est célèbre, on dit de lui que c'est le premier poète de la Russie.
En 1916-1917 Blok est au front, dans une unité du génie.

Après la révolution de Février il participe à commission extraordinaire chargée d'enquêter sur les activités des hauts fonctionnaires du tsar.
Le 19 octobre 1917 Blok écrit: «Lénine est le seul a croire que la prise du pouvoir par la démocratie mettra véritablement fin a la guerre et arrangera les choses dans le pays... Lénine c'est la prévision du bien
Blok accueillit Octobre avec joie.
A la question «L'intelligentsia peut-elle coopérer avec les bolcheviks?» posée par un journal, le poète répond: «Elle peut et elle le doit.» Il répond par la parole et par son action. Le 9 janvier 1918 il écrit un article « L'intelligentsia et la révolution» qui s'achève par cet appel: « De tout votre corps, de tout votre cœur, de toute votre conscience écoutez la révolution.» Le 29 janvier, Blok termine le brouillon de son poème «des Douze». L'essentiel est clair dans ce poème, le poète est de tout cœur avec la classe ouvrière, il ne se démarque pas des soldats de la Garde Rouge.

Dans les rues de Petrograd les murs se placardent d'affiches ou figure un vers des «Douze»: «Marquez le pas révolutionnaire

Poèmes:
Je préfère la magnifique liberté .
"Je préfère la magnifique liberté et je m’envole vers les pays de la grâce.

Là où dans les vastes et claires prairies, tout est bon, comme rêves et choses désirées.
Là du riz, du trèfle lumineux,et les épis tendrement s’entrelacent,
et ici toujours doucement se dit :« les oreilles s’inclinent…
Prends ton chemin ! » dans l’immense mer du juste, seul un des brins s’incline.
Tu ne le vois pas dans la brume de l’air, moi je l’ai vu, il sera mien !"

De l'obscur
"Dans des bribes de paroles

La marche brumeuse
Des autres mondes
Et le sombre envol du temps,
Je sais chanter avec le vent..."

Article paru le 2 juin 2007 dans "L'Humanité" Cultures.
http://www.humanite.fr/popup_imprimer.html?id_article=852305

dimanche 12 avril 2009

Grand pays, "petit empereur". Galerie de portraits






Napoléon le Petit

"Que peut-il ? Tout.
Qu'a-t-il fait ? Rien.
Avec cette pleine puissance, en huit mois un homme de génie eût changé la face de la France, de l'Europe peut-être. Seulement voilà, il a pris la France et n'en sait rien faire. Dieu sait pourtant que le Président se démène : il fait rage, il touche à tout, il court après les projets ; nepouvant créer, il décrète ; il cherche à donner le change sur sanullité ; c'est le mouvement perpétuel ; mais, hélas !cette roue tourne à vide. L'homme qui, après sa prise du pouvoir a épousé une princesse étrangère est un carriériste avantageux. Il aime la gloriole, les paillettes, les grands mots, ce qui sonne, ce qui brille, toutes les verroteries du pouvoir. Il a pour lui l'argent, l'agio, la banque, la Bourse, le coffre-fort.Il a des caprices, il faut qu'il les satisfasse. Quand on mesure l'homme et qu'on le trouve si petit et qu'ensuite on mesure le succès et qu'on le trouve énorme, il est impossible que l'esprit n'éprouve pas quelque surprise. On y ajoutera le cynisme car, la France, il la foule aux pieds, lui rit au nez, la brave, la nie, l'insulte et la bafoue ! Triste spectacle que celui du galop, à travers l'absurde, d'un homme médiocre échappé."

Victor HUGO. "Napoléon, le petit"
Première édition française : 2 décembre 1870
...Vous pensiez à quelqu'un d'autre ?

samedi 11 avril 2009

Temps de parole dans les médias



<= Chiffres : cliquez sur l'image ci-contre pour la lire !

Le PCF fait peur à la droite capitaliste et sarkosienne !

Le 3° parti politique français est muselé,
son temps de parole inexistant dans pratiquement tous les médias...

La France est parait-il un pays démocratique, mais la censure d'état fonctionne à fond !

Mobilisons-nous pour le droit & l'égalité à l'information

mardi 7 avril 2009

Touche pas à mon blog !


Espace de Gauche.

Entrée interdite à tout prédateur social !

dimanche 5 avril 2009

OTAN: la France recire ses bottes made in US-Army

OTAN en emporte le vent... de la colère !
Strasbourg = Hollywood-sur-Alsace ! Une fois de plus Sarkosy est prêt à tout pour se donner un rôle.
... et une fois de plus le scénario n'est écrit que par lui-même !
(Je n'ai pas souvenir d'avoir eu à exprimer par référendum mon appartenance à ce groupement militaire & "familial"
).
"Nous sommes de la famille, nous sommes dans la famille " C’est en ces termes que Nicolas Sarkozy a justifié la fin de la particularité française au sein de l’Alliance atlantique et l’alignement complet de notre pays dans l’OTAN, samedi dès l’ouverture du sommet. Il devait répéter cette formule marquant l’appartenance à un camp, lors de la conférence de presse finale, en compagnie de chancelière Angela Merkel. (L'Humanité - Jean-Paul Pierot)

"Une volonté pacifique s’exprimait dans la manifestation contre le retour de la France dans le commandement intégré de l’Otan. Les pacifistes allemands sont bloqués à la frontière et les provocateurs cassent" (Marie George Buffet)

"Si les autorités avaient laissé la manifestation tranquillement se mettre en place, elle se serait bien déroulée et on aurait eu ce soir des images de paix. A la place, on aura des images de guerre" (Marie-George Buffet)