... aimerait se rapprocher du Modem ?
Vraiment pas facile d'être socialiste aujourd'hui !
lundi 10 novembre 2008
dimanche 9 novembre 2008
Valse des étiquettes (suite)
LCR => NPA .
Changement de sigle. Et ensuite ?
Seules les lettres changent. Ce "nouveau parti" est identique à l'ancien. Il continue de se présenter comme "unique espoir à gauche", comme la seule voie anti-sarkosiste...
NON !
Le NPA, pas plus que l'ex-LCR, n'ont été et ne seront des partis de gouvernement.
De la démocratie non-plus.
Camarades, ne faites pas le jeu de la droite, ne vous trompez pas de cible en essayant de fragmenter la gauche populaire : l'adversaire s'appelle Sarkosy !!!
Changement de sigle. Et ensuite ?
Seules les lettres changent. Ce "nouveau parti" est identique à l'ancien. Il continue de se présenter comme "unique espoir à gauche", comme la seule voie anti-sarkosiste...
NON !
Le NPA, pas plus que l'ex-LCR, n'ont été et ne seront des partis de gouvernement.
De la démocratie non-plus.
Camarades, ne faites pas le jeu de la droite, ne vous trompez pas de cible en essayant de fragmenter la gauche populaire : l'adversaire s'appelle Sarkosy !!!
samedi 8 novembre 2008
PRS
Jean-Luc Mélenchon & Marc DolezPour la République Sociale va-t-il devenir le Parti de la République Sociale ?
Jean-Luc Mélenchon , sénateur de l’Essonne et Marc Dolez , député du Nord, quittent le Parti Socialiste et vont développer leur conception du combat républicain et socialiste. Ils refusent depuis toujours l'orientation de la direction du PS au sujet du traité de Lisbonne et du Manifeste commun avec les partis sociaux démocrates, qui gouvernent associés à la droite de leur pays.
Ils appellent également à la constitution d’un front des forces de gauche pour les élections européennes.
Marc Dolez a annoncé qu'il va quitter le groupe socialiste à l'Assemblée Nationale et rejoindre celui qui rassemble les Communistes & les Verts.
vendredi 7 novembre 2008
Sego, Segolène...
Motion choisie: Ségolène !
Royal !!!
Mais pour qui ?
La gauche ? Certainement pas !
Sarko ? Peut-être !
Pourtant il y a un vrai courant de gauche au PS.
Stratégie de la part de certains socialistes, alors ? Camarades, votre intention est-elle de la placer à la tête de votre parti afin de laisser le chemin libre à un(e) vrai(e) candidat(e) de la gauche populaire pour les prochaines élections présidentielles ?
En attendant, courage, Ségo est de retour.
jeudi 6 novembre 2008
Le PCF fait-il si peur que...
... le vote des sections pour le choix démocratique d'une base commune pour le Parti Communiste Français, les mercredi 29 & jeudi 30 octobre, a été ignoré par les médias !
Depuis ce matin: télévision, radio & presse écrite ne parlent que du choix de la motion socialiste dans leurs sections.
Deux partis, deux traitements médiatiques différents ?
Etrange, ce n'est pas le genre de la presse française actuelle de couvrir abondamment un évènement qui n'est pas "de droite" !
Questions:
Un des deux partis ferait-il plus peur que l'autre ?
Mais lequel ? Et pourquoi ?
Parce qu'il est de gauche ?
Le silence des communistes (sic) n'est imposé que par les medias appartenant aux amis de Sarkosy.
Sur le terrain la parole communiste est pourtant continuellement diffusée.
Depuis ce matin: télévision, radio & presse écrite ne parlent que du choix de la motion socialiste dans leurs sections.
Deux partis, deux traitements médiatiques différents ?
Etrange, ce n'est pas le genre de la presse française actuelle de couvrir abondamment un évènement qui n'est pas "de droite" !
Questions:
Un des deux partis ferait-il plus peur que l'autre ?
Mais lequel ? Et pourquoi ?
Parce qu'il est de gauche ?
Le silence des communistes (sic) n'est imposé que par les medias appartenant aux amis de Sarkosy.
Sur le terrain la parole communiste est pourtant continuellement diffusée.
mercredi 5 novembre 2008
Jacques Prévert sur France 5 le jeudi 6 novembre
" Un ouvrier, c'est comme un vieux pneu, quand il crève, on l'entend même pas crever." J. Prévert
Barack Obama sera investi 44° président des États-Unis le 20 janvier 2009.
Ce matin, sur les ondes de France-Info, après avoir léché les bottes US et copiné avec Bush, Kouchner (ex-socialiste & futur "tout") s'est réjoui au nom de son grand ami Sarko de "... cette joyeuse victoire tant attendue" (sic) .Bernard K., dont la valise est déjà pleine de vestes, aura-t-il encore un peu de place pour y ajouter cet accessoire vestimentaire nécessaire à l'interprétation complète d'une chanson de Dutronc: "... demain je retourne mon pantalon" (sic).
Obama est Noir, c'est une première victoire, mais après... que changera-t-il (et surtout que pourra-t-il faire) pour ce monde que les USA ont déjà mis dans le rouge ?
"God bless America" (Que Dieu bénisse l'Amérique) ? Le roi est mort Vive le roi !
... sacré Bernard !
dimanche 2 novembre 2008
Liberté de la presse...(ou, ce qu'il en reste ) !
Abonnez-vous à l'Humanité
& l'Humanité Dimanche !
Participez à la sauvegarde d'un des rares titre qui n'appartient pas aux grands groupes financiers.
(Et le seul réellement de gauche).
APPEL NATIONAL
APPEL NATIONAL
Décider d’urgence des mesures efficaces contre la crise
L’insatiable appétit de profits des groupes financiers, des fonds spéculatifs et des banques a provoqué en quelques mois la crise la plus grave que le monde ait connu depuis 1929.
Mais, avec les gouvernements qui les soutiennent, ils veulent en solder les comptes sur le dos des salariés et des peuples.
Qui va payer?
En France, Sarkozy et sa majorité qui hier encore déclaraient que les caisses étaient vides ont trouvé des centaines de milliards pour voler au secours de la finance. Mais ils vont présenter la note aux contribuables. En revanche, lorsqu’il s’agit de prendre des mesures visant à sauvegarder l’emploi, les vieilles recettes du capitalisme libéral, qui sont en fait au cœur de la crise, reviennent au galop : bas salaires, exonération fiscales pour les patrons, aggravation de la précarité pour les salariés, pressions accrues sur les chômeurs, travail du dimanche… Et pour le reste des grands discours sur la sécurisation des « transitions professionnelles» et des décisions sans communes mesures avec la gravité de la situation tel le recours aux emplois aidés le plus souvent précaires.
C’est d’autant plus inacceptable que les conséquences de la crise et de la récession frappent avec brutalité les salariés, précaires et chômeurs : multiplication des plans de licenciements, mise au chômage des intérimaires, secteurs d’activités sinistrés tels l’automobile, la construction, l’aéronautique etc., salaires plus comprimés encore, dépenses publiques amputées…
Le capitalisme en cause
Au cœur de la crise actuelle, se trouvent un système et des politiques orientées vers la recherche de la rentabilité financière écrasant la croissance réelle, la diminution des dépenses publiques, la mise en concurrence des hommes et des territoires.
C’est ce système qui vacille aujourd’hui et qu’il faut changer.
En France, en Europe et dans le monde, il est urgent d’adopter des réformes ambitieuses, permettant de mobiliser l’argent au service de la réponse aux besoins sociaux et humains et d’un nouveau type de développement.
Il est de la responsabilité de la gauche de se rassembler tout entière afin de prendre les initiatives d’action et de conviction indispensables pour faire prévaloir cette voie novatrice. C’est nécessaire et c’est urgent pour notre pays et pour notre peuple.
C’est le sens de cet appel initié par le Parti communiste pour porter les exigences suivantes :
Répondre aux besoins sociaux c’est soutenir l’activité économique et l’emploi.
- Augmentations immédiate des salaires et retraites, coup d’arrêt à la précarisation du salariat.
- Investissement massif dans le logement social, les transports, la recherche, l’éducation, la santé, l’environnement…
- Soutien aux collectivités territoriales qui sont les principaux investisseurs sociaux.
- Annulation du programme de suppressions d’emplois dans la fonction publique.
- Moratoire sur les licenciements dans le secteur privé.
- Relance des services publics et annulation des opérations de privatisation notamment à La Poste.
- Prise d’initiatives pour relancer la politique industrielle et la recherche.
Réorienter les financements, mobiliser de nouveaux moyens financiers.
- Créer un pôle financier public au service d’une nouvelle politique du crédit favorisant l’emploi et s’opposant à la spéculation.
- Supprimer les cadeaux fiscaux et les exonérations de charges qui alimentent les opérations financières et plombent les comptes publics. Instaurer immédiatement une contribution des grandes fortunes.
- Réorienter ces moyens vers des Fonds Régionaux pour développer l’activité en créant des emplois.
- Au plan européen, créer un front des pays partenaires et des forces sociales pour la réorientation de la BCE et la remise en cause du Pacte de stabilité. Ces derniers ont contribué à la crise et l’aggravent aujourd’hui.
- Dans le même cadre, instaurer des politiques d’harmonisation sociale vers le haut en rupture avec les ravages de la « concurrence libre et non faussée ».
- Lutter contre les dumpings sociaux, écologiques et fiscaux, démocratiser radicalement le FMI, l’OMC, la Banque mondiale et remettre en cause l’hégémonie du Dollar en ouvrant le débat sur la nécessité d’une monnaie commune mondiale pour les échanges internationaux.
Instaurer des pouvoirs démocratiques nouveaux pour maîtriser l’économie.
- Instaurer des pouvoirs de contrôle et de pilotage dans les institutions bancaires publiquement soutenues. Faire reculer les pouvoirs accumulés par les marchés financiers, actionnaires et investisseurs
- Gestion démocratique des Fonds Régionaux pour l’Emploi avec les représentants des salariés et les élus des territoires
- Création de commissions de contrôle de l’utilisation des fonds publics attribués aux entreprises
- Droits nouveaux pour les salariés et les comités d’entreprises afin qu’ils puissent intervenir sur la définition des choix de gestion et des stratégies des entreprises et des banques
Sources: site national du PCF
______________________________________________
Vous voulez vous joindre à cet appel :
NOM: …...................................................................
PRENOM: ….............................................................
ADRESSE: …............................................................
E-MAIL: ….................................................................
A RETOURNER A : PCF 2 pl du colonel FABIEN 75019 PARIS
Décider d’urgence des mesures efficaces contre la crise
L’insatiable appétit de profits des groupes financiers, des fonds spéculatifs et des banques a provoqué en quelques mois la crise la plus grave que le monde ait connu depuis 1929.
Mais, avec les gouvernements qui les soutiennent, ils veulent en solder les comptes sur le dos des salariés et des peuples.
Qui va payer?
En France, Sarkozy et sa majorité qui hier encore déclaraient que les caisses étaient vides ont trouvé des centaines de milliards pour voler au secours de la finance. Mais ils vont présenter la note aux contribuables. En revanche, lorsqu’il s’agit de prendre des mesures visant à sauvegarder l’emploi, les vieilles recettes du capitalisme libéral, qui sont en fait au cœur de la crise, reviennent au galop : bas salaires, exonération fiscales pour les patrons, aggravation de la précarité pour les salariés, pressions accrues sur les chômeurs, travail du dimanche… Et pour le reste des grands discours sur la sécurisation des « transitions professionnelles» et des décisions sans communes mesures avec la gravité de la situation tel le recours aux emplois aidés le plus souvent précaires.
C’est d’autant plus inacceptable que les conséquences de la crise et de la récession frappent avec brutalité les salariés, précaires et chômeurs : multiplication des plans de licenciements, mise au chômage des intérimaires, secteurs d’activités sinistrés tels l’automobile, la construction, l’aéronautique etc., salaires plus comprimés encore, dépenses publiques amputées…
Le capitalisme en cause
Au cœur de la crise actuelle, se trouvent un système et des politiques orientées vers la recherche de la rentabilité financière écrasant la croissance réelle, la diminution des dépenses publiques, la mise en concurrence des hommes et des territoires.
C’est ce système qui vacille aujourd’hui et qu’il faut changer.
En France, en Europe et dans le monde, il est urgent d’adopter des réformes ambitieuses, permettant de mobiliser l’argent au service de la réponse aux besoins sociaux et humains et d’un nouveau type de développement.
Il est de la responsabilité de la gauche de se rassembler tout entière afin de prendre les initiatives d’action et de conviction indispensables pour faire prévaloir cette voie novatrice. C’est nécessaire et c’est urgent pour notre pays et pour notre peuple.
C’est le sens de cet appel initié par le Parti communiste pour porter les exigences suivantes :
Répondre aux besoins sociaux c’est soutenir l’activité économique et l’emploi.
- Augmentations immédiate des salaires et retraites, coup d’arrêt à la précarisation du salariat.
- Investissement massif dans le logement social, les transports, la recherche, l’éducation, la santé, l’environnement…
- Soutien aux collectivités territoriales qui sont les principaux investisseurs sociaux.
- Annulation du programme de suppressions d’emplois dans la fonction publique.
- Moratoire sur les licenciements dans le secteur privé.
- Relance des services publics et annulation des opérations de privatisation notamment à La Poste.
- Prise d’initiatives pour relancer la politique industrielle et la recherche.
Réorienter les financements, mobiliser de nouveaux moyens financiers.
- Créer un pôle financier public au service d’une nouvelle politique du crédit favorisant l’emploi et s’opposant à la spéculation.
- Supprimer les cadeaux fiscaux et les exonérations de charges qui alimentent les opérations financières et plombent les comptes publics. Instaurer immédiatement une contribution des grandes fortunes.
- Réorienter ces moyens vers des Fonds Régionaux pour développer l’activité en créant des emplois.
- Au plan européen, créer un front des pays partenaires et des forces sociales pour la réorientation de la BCE et la remise en cause du Pacte de stabilité. Ces derniers ont contribué à la crise et l’aggravent aujourd’hui.
- Dans le même cadre, instaurer des politiques d’harmonisation sociale vers le haut en rupture avec les ravages de la « concurrence libre et non faussée ».
- Lutter contre les dumpings sociaux, écologiques et fiscaux, démocratiser radicalement le FMI, l’OMC, la Banque mondiale et remettre en cause l’hégémonie du Dollar en ouvrant le débat sur la nécessité d’une monnaie commune mondiale pour les échanges internationaux.
Instaurer des pouvoirs démocratiques nouveaux pour maîtriser l’économie.
- Instaurer des pouvoirs de contrôle et de pilotage dans les institutions bancaires publiquement soutenues. Faire reculer les pouvoirs accumulés par les marchés financiers, actionnaires et investisseurs
- Gestion démocratique des Fonds Régionaux pour l’Emploi avec les représentants des salariés et les élus des territoires
- Création de commissions de contrôle de l’utilisation des fonds publics attribués aux entreprises
- Droits nouveaux pour les salariés et les comités d’entreprises afin qu’ils puissent intervenir sur la définition des choix de gestion et des stratégies des entreprises et des banques
Sources: site national du PCF
______________________________________________
Vous voulez vous joindre à cet appel :
NOM: …...................................................................
PRENOM: ….............................................................
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E-MAIL: ….................................................................
A RETOURNER A : PCF 2 pl du colonel FABIEN 75019 PARIS
samedi 1 novembre 2008
Congrès du PCF : la base commune adoptée à 60%
Dans la préparation du congrès à Paris à la mi-décembre, les communistes ont adopté à la majorité de plus de 60% le texte issu du Conseil national.
Les deux textes alternatifs recueillent respectivement 15% et 24%.
Les 29 et 30 octobre 2008, les adhérents du Parti communiste Français ont voté pour choisir le texte qui devient dorénavant la base commune de discussion jusqu’à leur congrès des 11, 12, 13 et 14 décembre à Paris-La Défense.
La base commune adoptée par le Conseil National et intitulée « Vouloir un monde nouveau, le construire au quotidien » a recueilli une majorité de voix (60,91 %).
Le texte alternatif 1 : « Renforcer le PCF, renouer avec le marxisme » a obtenu 15,04% des voix.
Le texte alternatif 2 : « Faire vivre et renforcer le PCF, une exigence de notre temps » a recueilli 24,03 % des votes.
Dans un communiqué, la Commission de transparence du Parti communiste français se félicite d’un "choix clair parmi les orientations proposées". "Une majorité de communistes témoignent de leur envie d’être partie prenante des enjeux de notre époque. Ils veulent faire vivre un Parti communiste transformé, apte à relever les défis de la bataille idéologique et politique du projet de civilisation libérale de Sarkozy en étant les promoteurs modernes d’une alternative crédible pour un profond changement de société", poursuit le communiqué.
Sources: L'Humanité .
Les deux textes alternatifs recueillent respectivement 15% et 24%.
Les 29 et 30 octobre 2008, les adhérents du Parti communiste Français ont voté pour choisir le texte qui devient dorénavant la base commune de discussion jusqu’à leur congrès des 11, 12, 13 et 14 décembre à Paris-La Défense.
La base commune adoptée par le Conseil National et intitulée « Vouloir un monde nouveau, le construire au quotidien » a recueilli une majorité de voix (60,91 %).
Le texte alternatif 1 : « Renforcer le PCF, renouer avec le marxisme » a obtenu 15,04% des voix.
Le texte alternatif 2 : « Faire vivre et renforcer le PCF, une exigence de notre temps » a recueilli 24,03 % des votes.
Dans un communiqué, la Commission de transparence du Parti communiste français se félicite d’un "choix clair parmi les orientations proposées". "Une majorité de communistes témoignent de leur envie d’être partie prenante des enjeux de notre époque. Ils veulent faire vivre un Parti communiste transformé, apte à relever les défis de la bataille idéologique et politique du projet de civilisation libérale de Sarkozy en étant les promoteurs modernes d’une alternative crédible pour un profond changement de société", poursuit le communiqué.
Sources: L'Humanité .
34° congrès du PCF: vote
Résultats du vote de la Section d'Oullins (29 & 30 octobre 2008)
-1) Vouloir un monde nouveau, le construire au quotidien (projet du Conseil National) 64 %
-2) Renforcer le PCF, renouer avec le marxisme (projet alternatif) 10 %
-3) Faire vivre & renforcer le PCF, une exigence de notre temps (projet alternatif) 24 %
- Votes nuls: 2 %
-1) Vouloir un monde nouveau, le construire au quotidien (projet du Conseil National) 64 %
-2) Renforcer le PCF, renouer avec le marxisme (projet alternatif) 10 %
-3) Faire vivre & renforcer le PCF, une exigence de notre temps (projet alternatif) 24 %
- Votes nuls: 2 %
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