mercredi 3 octobre 2007

NON A LA FRANCHISE MEDICALE

le jeudi et le samedi sur le marché

LES COMMUNISTES OULLINOIS VOUS PROPOSERONT DE SIGNER

LA PETITION CONTRE LA FRANCHISE MEDICALE IMPOSEE PAR SARKOZY ET SES VALETS DU GOUVERNEMENT


VOICI LE TEXTE A PETITIONNER


Fédération du Parti Communiste Français du Rhône
Section d’OULLINS

PETITION : NON A LA FRANCHISE MEDICALE
(Au moins 50 € par an et par foyer) - 61 % des français la juge injuste.

Cette mesure du gouvernement doit être rejetée

Le coût à la charge des malades ne cesse d’augmenter :
- forfait hospitalier 15 € et en plus depuis 2005 :
- 1€ sur chaque consultation du médecin et
- 18 € pour un acte médical lourd (ex. appendicite) sans compter
- les « dépassements d’honoraires » qui se généralisent.
Aujourd’hui 25% des assurés ont moins de 100 € de dépenses de santé par an. Avec la nouvelle franchise ils ne seront presque plus remboursés. Ce sont surtout des jeunes et en bonne santé. La nouvelle franchise va provoquer pour beaucoup le report des soins voir la suppression de la médecine préventive ou le dépistage.
Avec l’augmentation de l’espérance de vie, les progrès de la médecine … les besoins de santé augmenteront.
C’est sur les recettes qu’il faut agir.
- Taxer les revenus boursiers : + 13 milliards d’€
- Augmenter les salaires de 1 % : + 9 milliards d’€
- Créer 100 000 emplois : + 9 milliards d’€
Aujourd’hui le coût des exonérations de cotisations patronales c’est 23 milliards d’€ de recettes en moins et les dettes patronales non payés se montent à 1,9 milliards d’€.
Derrière la méthode de la franchise existe un tout autre objectif.
Aujourd’hui il ne reste que 75 % des dépenses de santé de couvertes par la sécu.
Ce sont en grande partie les longues maladies et les interventions lourdes. En transférant, sur les familles, les dépenses « courantes » et en interdisant qu’elles soient prises en charge par les mutuelles l’objectif est de donner en grand ce marché aux assurances privées. Des pays appliquent déjà ce principe. Le régime solidaire (en déséquilibre financier) pour les personnes « à risques » et de l’autre les assurances privées pour les « petites maladies », les enfants, les soins dentaires et les lunettes.
Un choix de société.
Dans quel monde voulons nous vivre ?
Celui de la compétition généralisée, du chacun pour soi pour survivre ?
Ou celui de la solidarité et du partage ?
La « SECU » créée à la Libération dans un pays ruiné a les moyens aujourd’hui de donner sa pleine mesure à l’image du niveau actuel du Produit Intérieur Brut (PIB) .
Il faut « responsabiliser » patrons et actionnaires. Ils doivent contribuer à la solidarité nationale.
OUI l’accès aux soins est un droit inaliénable, un choix de société.


VENEZ SIGNER MASSIVEMENT CE TEXTE

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